mercredi 10 novembre 2021

Vent Blanc, Noir cavalier

 Mon avis sur Vent Blanc, Noir cavalier

 De : Luke Rhinehart

 Prix : 20€

 Edition : Aux forges de vulcain

 Je remercie Babelio et « Aux forges de Vulcain » pour m’avoir permis de découvrir ce roman.

Tout d’abord, il faut savoir que je n’ai pas pour habitude de lire de la littérature et préfère souvent m’évader dans de la fantaisie jeune adulte ou encore des mangas. Pourtant j’ai lu très facilement ce roman. Il est à la fois très poétique et ancré dans la culture japonaise notamment avec le culte de l’honneur. On se retrouve plongé plusieurs siècles en arrière au temps des samouraïs. Oboko et Izzi sont deux poètes très différents. Alors qu’ils sont coincés par la neige dans les montagnes ils vont sauver Matari la femme d’un grand Samouraï qui s’est enfuie pour retrouver sa liberté. Son mari est bien décidé à la retrouver et à la tuer pour laver son honneur.
Ce livre est un magnifique drame à la japonaise qui a su me faire verser quelques larmes à la fin mais qui reste écrit d’une façon particulière qui ne saura pas forcément plaire à tout le monde.

 Ma note : 14/20 Un très beau drame japonais au temps des samouraï raconté de façon très poétique

#Frimousse

 

Résumé :

« Je ne suis pas morte », dit-elle avec une voix douce et émerveillée.

Matari, qui s’était enfoncée dans la nuit neigeuse dans l’espoir d’y mourir, est sauvée et recueillie par Oboko, un poète et moine bouddhiste. Nous sommes au Japon, au début du dix-huitième siècle. Oboko et son ami Izzi, un poète de cour, aussi extraverti qu’Oboko est secret, s’éprennent, l’un comme l’autre, de la jeune femme, qui leur apprend que, bientôt, ils seront tous les trois rejoints, et sans doute massacrés, par le Seigneur Arishi, auquel Matari était promise, et qu’elle a fui.

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