Titre :
Si c’est un homme
Auteur :
Primo Levi
Prix :
6,20€
Edition :
Pocket
Résumé :
Durant la
seconde guerre mondiale, primo levi, vingt-quatre ans, juif, lutte aux côtés
des maquisards antifascistes du piémont.
Capturé en 1943, il se retrouve peu après à Auschwitz, où à demeurera plus d'un an avant d'être libéré par l'armée russe en janvier 1945. Au camp, il observe tout. Il se souviendra de tout, racontera tout la promiscuité des blocks-dortoirs, les camarades qu'on y découvre à l'aube, morts de froid et de faim; les humiliations et le travail quotidiens, sous les coups de trique des kapos; les " sélections " périodiques où l'on sépare les malades des bien-portants pour les envoyer à la mort ; les pendaisons pour l'exemple ; les trains, bourrés de juifs et de tziganes, qu'on dirige dès leur arrivée vers les crématoires.
Et pourtant, dans ce récit, la dignité la plus impressionnante ; aucune haine, aucun excès, aucune exploitation des souffrances personnelles mais une réflexion morale sur la douleur, sublimée en une vision de la vie.
Capturé en 1943, il se retrouve peu après à Auschwitz, où à demeurera plus d'un an avant d'être libéré par l'armée russe en janvier 1945. Au camp, il observe tout. Il se souviendra de tout, racontera tout la promiscuité des blocks-dortoirs, les camarades qu'on y découvre à l'aube, morts de froid et de faim; les humiliations et le travail quotidiens, sous les coups de trique des kapos; les " sélections " périodiques où l'on sépare les malades des bien-portants pour les envoyer à la mort ; les pendaisons pour l'exemple ; les trains, bourrés de juifs et de tziganes, qu'on dirige dès leur arrivée vers les crématoires.
Et pourtant, dans ce récit, la dignité la plus impressionnante ; aucune haine, aucun excès, aucune exploitation des souffrances personnelles mais une réflexion morale sur la douleur, sublimée en une vision de la vie.
Nous
suivons Primo Levi, un italien de 24 ans, il se fit arrêter le 13 décembre 1943
par la Milice fasciste. Au début de l’année 1944 il fut déporté à Auschwitz. Il
arrive fatigué, déboussolé et surtout assoiffé… Ils
furent trier, ils durent abandonner leurs bagages, ils se firent raser, tatouer
un numéro sur le bras gauche, puis ils durent prendre une douche. Personne ne
savait ce qu’il allait se passer à Auschwitz, mais ils comprennent vite qu’ici
on ne pose pas de question…
Ce livre est
intéressant mais il ne fait surtout pas le lire quand on est déprimé. Primo
Levi a rencontré beaucoup de personnes mais seul quelques-unes l’on vraiment
marqué. L’homme qui l’a réconcilié avec la race humaine est Lorenzo, un ouvrier
Italien. Celui-ci lui a donné de la nourriture sans rien demander en retour
alors qu’on camps, si on vous donne quelques chose c’est que vous avez fait un
échange, car il y a un trafic très important Auschwitz. Puis à la toute fin il
y a eu également Charles et Arthur deux français arrivé récemment qui ne
perdent pas espoir de sortir bientôt des camps de concentration. C’est grâce à
eux qu’il s’est battu jusqu’au bout.
C’est très
compliquer de noté un livre sur un sujet que nous n’avons pas connu mais je
pense que si je devais lui donner une note je lui donnerais un : 15,5/20,
Je ne conseille ce livre qu’a ceux qui ont envie de lire des romans sur la
deuxième guerre mondiale
#Frimousse
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